Mauvaise fin de journée hier... Mauvaise nuit... Et ce matin création d'un poème qui me trottait dans la tête depuis quelques jours - voir mon précédent post : "Me cacher pour pleurer".
Les états d'âme du poète ont cela de positif que cela stimule toujours sa créativité. Et, d'un autre côté, la poésie est aussi souvent une sorte d'exutoire, oserai-je dire de thérapie.
Bon, la page d'hier est tournée, avec ses moments de stress ; aujourd'hui est un nouveau jour qui se lève, tout frais et plein de promesses : le jour est comme la vie, ce qu'on en fera. On peut toujours essayer de rectifier ce qui n'a pas été fait de la façon qui semblerait la bonne, il suffit d'accepter de se remettre sans cesse en question.
Il faudra aussi un jour que je fasse un poème sur la vie, ses pages blanches qui s'offrent à nous et qui sont ce que nous en faisons...
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