Monday, December 22, 2008
Ma nouvelle vidéo : Tu m'écris qu'il neige
Wednesday, December 03, 2008
Ma nouvelle vidéo : Le Chiffon Rouge
Il y a longtemps que je rêvais de faire un montage vidéo sur cette célèbre chanson de Maurice Vidalin, symbole des luttes sociales, qu'est "Le Chiffon Rouge" interprétée ici par Michel Fugain. J'ai donc recherché sur Second Life des endroits consacrés au communisme, au socialisme et à la révolution, pour y prendre les photos nécessaires à l'illustration de la chanson.
Tuesday, November 25, 2008
Open your Heart, Open your Soul
and now the (first) french version :
Wednesday, November 05, 2008
He did it : We can change !
Thursday, October 30, 2008
Incivilités : une voiture stationne devant votre garage, que faites-vous ?
Mon coup de gueule ce matin ira pour tous ceux qui stationnent égoïstement au mépris de ceux qu'ils gênent.
En l'occurence, il s'agit d'un anonyme qui a stationné sa voiture devant notre garage cette nuit, nous empêchant ainsi de sortir notre voiture ce matin quand il fallait aller au travail.
Nous habitons un quartier d'immeubles où certes les places de stationnement n'avaient pas été prévues en quantité suffisante au moment de la construction du quartier (milieu des années 70). Tous les habitants se débrouillent de leur mieux pour stationner, lorsque les places "normales" de stationnement sont occupées (devant les entrées d'immeubles malgré les panneaux d'interdiction de stationner, sur les pelouses, sur un ancien terrain de basket reconverti en place déserte, etc.). Il arrive aussi que les gens soient plus ou moins obligés de stationner devant les garages (bien trop peu nombreux eux aussi) situés à côté des entrées d'immeubles.
Donc il arrive assez fréquemment qu'un véhicule soit devant notre entrée de garage, mais la plupart du temps c'est juste en bordure de la porte du garage, et nous pouvons donc ouvrir le garage pour entrer ou sortir notre véhicule. Sinon, il y a aussi une entente tacite avec un sympathique voisin qui ne ferme pas sa voiture à clé afin que nous puissions la pousser de quelques centimètres s'il gêne, avec lui il n'y a pas de problème du tout...
Mais voilà, ce matin je devais conduire ma fille à un petit boulot de quelques heures qu'elle avait trouvé : un intérim pour un inventaire commençant à 5h45 à quelques kilomètres de chez nous. Et "damned !", un véhicule inconnu devant notre garage... Impossible de l'ouvrir... Impossible de savoir à qui il était... Que faire ?
J'ai donc réveillé tout l'immeuble en sonnant chez tous les locataires des deux entrées situées près du garage... Imaginez une sonnerie qui vous tire du lit à 5h35, vous apprécieriez aussi, n'est-ce pas ?... Malgré toutes mes excuses auprès des gens que je dérangeais ainsi, je me suis donc fait copieusement enguirlander par certains locataires mal réveillés... Personne ne savait à qui était ce maudit véhicule (une 405 Peugeot noire... vais-je aussi vous donner le numéro d'immatriculation ? lol... ok : le numéro finit par VL 68, je n'en dirai pas plus ici... )... Que faire ?... "Prévenez les gendarmes au lieu d'emmerder tout le monde !!!"... Oui, sans doute, mais cela aurait changé quoi pour le boulot de ma fille ? Que dalle ! Ce n'est pas les gendarmes qui l'auraient conduite bosser, non mais !!!!!... Pour cette fois, il était de toute façon trop tard.
Heureusement, mon fils habite la même ville que nous... Nous l'avons appelé, mais entre temps il était déjà 5h45, l'heure où ma fille aurait dû être sur place pour l'inventaire ! Enfin bref, lui aussi est sorti du lit en catastrophe et a conduit sa soeur (en retard) au boulot... Pour l'instant je ne sais même pas encore si le retard n'a pas été préjudiciable à sa possibilité d'effectuer quelques heures de travail, à une époque où chaque petit boulot est une manne providentielle...
De mon côté, j'ai posé un mot sous l'essuie-glace du véhicule qui est encore devant notre garage à l'heure actuelle : "La prochaine fois que cette voiture est devant notre garage, nous appelons les gendarmes".
Voilà, c'est une journée qui commence bien, sous la pluie et dans l'énervement, à cause d'un conducteur égoïste
Tuesday, October 21, 2008
Hommage à soeur Emmanuelle : Yalla (Calogero)
© Mercury
On ne retient pas l'écume
Dans le creux de sa main
On sait la vie se consume
Et il n'en reste rien
D'une bougie qui s'allume
Tu peux encore décider du chemin, de ton chemin
Crois-tu que tout se résume
Au sel d'entre nos doigts
Quand plus léger qu'une plume
Tu peux guider tes pas
Sans tristesse ni amertume
Avancer, avance puisque tout s'en va tout s'en va
{Refrain:}
Yalla yalla yalla yalla
Elle m'emmène avec elle
Je t'emmène avec moi
Yalla
Tu trouveras le soleil
Dans le coeur des enfants
Sans nulle autre joie pareille
Ni sentiment plus grand
Un mot d'amour à l'oreille
Peu dans chacun réveiller un volcan pour qui l'entend...
{Refrain}
Pont
Tu trouveras le soleil
Dans le coeur des enfants
{Refrain}
Monday, October 13, 2008
If I had a Pair of Wings
I could go flying to you
And my sweet tenderest sigh
Would be caressing you
So I could come to tear up
The thick and dark cruel veil
Which still is separing us
Insurmountable border
Holding me too far from you
Si j’avais une paire d’ailes
Je pourrais m’envoler vers toi
Et de mes plus tendres soupirs
Enfin je te caresserais
Je parviendrais à déchirer
Le sombre épais voile cruel
Qui présentement nous sépare
Cette barrière infranchissable
Qui me garde trop loin de toi
©Clementia
17 septembre 2008
Wednesday, October 01, 2008
Sur les ailes d'un ange
Très belle vidéo de Chantal, sur une musique de Neil Diamond (la musique du film Jonathan Livingston le goéland)
Tuesday, May 20, 2008
Vidéo : Ici et maintenant, sur un texte de Clementia
Le poème "Ici et Maintenant" figure dans mon livre
"Une histoire d'amour de Clementia",
que vous pouvez vous procurer en vous connectant sur
Sunday, April 27, 2008
Connaissez-vous le chanteur Pedro Abrunhosa ? (3 : Pontes entre nos)
Tu tens o chão,
Tens as palavras
Entre a luz e a escuridão.
Eu tenho a noite,
E tu tens a dor,
Tens o silêncio
Que por dentro sei de cor.
E eu, e tu,
Perdidos e sós,
Amantes distantes,
Que nunca caiam as pontes entre nós.
Eu tenho o medo,
Tu tens a paz,
Tens a loucura
Que a manhã ainda te traz.
Eu tenho a terra,
Tu tens as mãos,
Tens o desejo
Que bata em nós um coração.
E eu, e tu,
Perdidos e sós,
Amantes distantes,
Que nunca caiam as pontes entre nós.
Connaissez-vous le chanteur Pedro Abrunhosa ? (2 : Será)
ou já te levam balas de um qualquer inimigo.
Será que soube dar-te tudo o que querias,
ou deixei-me morrer lento, no lento morrer dos dias.
Será que fiz tudo que podia fazer,
ou fui mais um cobarde, não quis ver sofrer.
Será que lá longe ainda o céu é azul,
ou já o negro cinzento confunde Norte com Sul.
Será que a tua pele ainda é macia,
ou é a mão que me treme, sem ardor nem magia.
será que ainda te posso valer,
ou já a noite descobre a dor que encobre o prazer.
Será que é de febre este fogo,
este grito cruel que da lebre faz lobo.
Será que amanhã ainda existe para ti,
ou ao ver-te nos olhos te beijei e morri.
Será que lá fora os carros passam ainda,
ou as estrelas caíram e qualquer sorte é bem-vinda.
Será que a cidade ainda está como dantes
ou cantam fantasmas e bailam gigantes.
Será que o sol se põe do lado do mar,
ou a luz que me agarra é sombra de luar.
Será que as casas cantam e as pedras do chão,
ou calou-se a montanha, rendeu-se o vulcão.
Será que sabes que hoje é Domingo,
ou os dias não passam, são anjos caindo.
Será que me consegues ouvir
ou é tempo que pedes quando tentas sorrir.
Será que sabes que te trago na voz,
que o teu mundo é o meu mundo e foi feito por nós.
Será que te lembras da cor do olhar
quando juntos a noite não quer acabar.
Será que sentes esta mão que te agarra
que te prende com a força do mar contra a barra.
Será que consegues ouvir-me dizer
que te amo tanto quanto noutro dia qualquer.
Eu sei que tu estarás sempre por mim
Não há noite sem dia, nem dia sem fim.
Eu sei que me queres, e me amas também
me desejas agora como nunca ninguém.
Não partas então, não me deixes sozinho
Vou beijar o teu chão e chorar o caminho.
Será,
Será,
Será!
Connaissez-vous le chanteur Pedro Abrunhosa ? (1 : Dis-moi)
Tuesday, April 22, 2008
Un tanka de Clementia : Pluie
Sunday, April 20, 2008
On se retrouvera, Day of Remembrance sur Second Life : ma toute nouvelle vidéo
BO du film "Le passage"
D'être plus fort que jamais
Je serai toujours dans ta vie
Près de toi, je te promets
Et si la mort me programme
Sur son grand ordinateur
De ne pas en faire un drame
De ne pas en avoir peur
Pense à moi, comme je t'aime
Et tu me délivreras
Tu briseras l'anathème
Qui me tiens loin de tes bras
Pense à moi, comme je t'aime
Rien ne nous séparera
Même pas les chrysanthèmes
Tu verras, on se retrouvera
N'oublie pas ce que je t'ai dit
L'amour est plus fort que tout
Ni l'enfer ni le paradis
Ne se mettront entre nous
Et si la mort me programme
Sur son grand ordinateur
Elle ne prendra que mon âme
Mais elle n'aura pas mon cœur
Pense à moi, comme je t'aime
Et tu me délivreras
Tu briseras l'anathème
Qui me tiens loin de tes bras
Pense à moi, comme je t'aime
Rien ne nous séparera
Même pas les chrysanthèmes
Tu verras, on se retrouvera
On se retrouvera
On se retrouvera...
Wednesday, April 16, 2008
Rainbows remembering
In this deep darkest night
I shout my suffering
I am too lonely
Why did you let me so ?
I seek a reconfort
But still my heart has cold
I remember the days
We were in tenderness
Flying over rainbows
And I am asking why
This sweet time was fugace
It was such a great love
But still alone I stay
In night of insomnia
As wonderful rainbows
Gone evaporated
Is now the ground too grey
Clementia
04/16/2008
Sunday, March 30, 2008
Pâques 2008 en famille : des photos
Friday, March 28, 2008
While The Silence from a To Fragile Connexion's Broken
And my tender caresses
Wraping you up
And do you feel my presence
Beside you
During all your day
And also my tenderness
Blessing your dreams
While you are sleeping
If I had a pair of wings
I could fly to you
And my whispers of love
Would caress you
I could come to tear up
The thick cruel veil
Which still separes us
And holds me so far from you
Wednesday, March 12, 2008
Amazing Accident (#2 ex-aequo to the Poets of Zarahemla contest in Second Life)
The theme for the contest of the Poets of Zarahemla POZ Group was in february 'poems about Second Life'.
I'm glad to present you here my rewarded poem :
'Amazing Accident'
In the Space Inspired Park,
Impalpable instant
Between earth and starry sky :
An « amazing accident ».
Standing lonely
You were waiting a girl :
You had rendez-vous,
But she never came to you,
So you were alone.
Funny Destiny :
A SL’s practical joke
Drove me just near you.
My previous region was full
And I was sent where you were.
Two wand’ring poets…
In this circumstanc’s we met.
« Bad technology,
But amazing accident »,
Dancing, began our Romance...
So magical night,
Unforgettable instant,
Sharing about us
We were both discovering,
Like in mirror, our soul mate.
02/29/2008
Dans le Space Inspired Park,
Impalpable instant
Entre terre et ciel d’étoiles :
« An amazing accident »
Tout seul sur la piste,
Tu attendais une amie
Qui ne vint jamais.
Quel bizarre rendez-vous,
Qui te laissait solitaire.
Amusant Destin :
Second Life aux goûts farceurs
Me guida vers toi.
Ma « région » était trop pleine
Et j’atterris près de toi.
Deux poètes errants
Se rencontrèrent ainsi.
« Bad technology,
But amazing accident »,
Une danse et la Romance...
Cette nuit magique,
Quels instants inoubliables :
Faisant connaissance,
Chacun découvrait en l’autre
Son miroir, son âme sœur.
Je me débrouillais
Dans mon piètre anglais scolaire.
Toi, de ton côté,
Tu n’avais jamais appris
Que quelques mots de français.
Pour trouver l’amour,
Il n’est pas besoin de mots
Lorsque les cœurs parlent.
Pourtant je t’ai demandé
De devenir mon « teacher ».
C’est avec ton aide
Que j’appris ton doux langage,
Noyée dans tes yeux.
Et c’est blottie dans tes bras
Que je me donnai à toi.
Le monde est petit,
Il a pour seules frontières
Nos fuseaux horaires.
Ton « Bonjour », mon « Bonne nuit »
S’échangent dans un baiser.
La technologie,
Crashs ou soucis d’Internet,
Ne pourront jamais
Te déconnecter de moi
Car tu habites mon cœur.
Sunday, February 17, 2008
"The Child is sick"
L’enfant est malade…
La maman est inquiète
En haut dans sa chambrette
Son enfant est malade depuis plusieurs jours
La fièvre le taraude et trempe ses draps affolés
L’ombre guette
Il tousse
Cherche sa respiration
Ses yeux pleurent
Il ronfle avec son nez bouché
Les cauchemars se bousculent dans ses délires fiévreux
Les murs et les rideaux se parent de monstres hideux
La couverture devient des camions des autos
Qui menacent de l’écraser
Un arbre malsain grandit dans ses voies respiratoires
Etendant en lianes son caressement constricteur
Maintenant
Une chape de sables mouvants
Veut engloutir l’enfant
Sous les ricanements
De djinns s’esclaffant
L’enfant gémit
L’enfant pleure
L’enfant a peur
La mère prie et supplie
Dans son délire voilà qu’il chante
Il parle d’un céleste ailleurs
Où il attendra de te retrouver
La maman étreint tendrement l’enfant
Elle pleure
Elle a peur
Elle sent rôder l’ombre avide
De la Faucheuse qui guette
Une forme rassurante
D’un rouge orangé
Etoilée de paillettes
Se pose auprès du petit lit
Et veille l’enfant
Le réconfortant
Le rassurant
Et chassant tous les cauchemars
Des mains chaudes et douces
Sur ses bronches et sur son front
Déposent le réconfort
Dans la lumineuse caresse d’un halo bleu indigo
La fièvre capitule
Et s’envole
Le souffle du petit redevient apaisé
Le sommeil apporte un soulagement réparateur
La lugubre ombre fatale
Est partie dépitée
Guetter funestement
D’autres âmes pour sa sinistre moisson
Bientôt l’enfant se lèvera guéri
Il pourra retourner à ses jeux
Et à l’école retrouver ses amis
La maman rassurée
D’un baiser l’a bordé
Et leurs cœurs joyeux s’épanouissent en louanges.
Clementia
16 janvier 2006
and now, (imperfect) translated in my french-broken English :
The Child is sick...
On the first floor in its small bedroom
Her child is sick for several days
Fever taps it and soaks its panicked bed's sheets
Shadows watches for
It is coughing
It is seeking its breathing
Its eyes are crying
It whirrs with its filled nose
Nightmares are hustled in its feverish delirious
Walls and curtains decorates them with hideous monsters
The cover becomes trucks and cars
Which threaten to crush it
An unhealthy tree grows in its respiratory tracts
Extending in creepers its constrictor carressment
Now
A moving sands cover
Wants to absorb the child
Under the sniggers
Of bursting out laughing djinns
The child groans
The child cries
The child is affraid
The mother prays and implores
In its delirium here that it sings
It speaks about celestial elsewhere
Where it will await to see you again
The mom embrace tenderly the child
She cries
She is affraid
She feels the avid shade rove
Of the watching Reaper
A reassuring form
Of an orange red
Brilliant of spangles
Is posing it near the small bed
And takes care the child
Comforting it
Reassuring it
And driving out all the nightmares
Warm and soft hands
On its bronchis and its foreheard
Déposits the comfort
In the luminous caress of an indigo blue halo
The fever capitulates
And flies away
The breath of the child becames alleviated again
The sleep brings a repairing relief
Lugubrious fatal shade
Is disappointed left
To fatally watch
Other hearts for its sinister harvest
Soon will the child rise cured
It will be able to return to its plays
And at school see again its friends
The reassured mom
With a kiss tucked it in
And their merry hearts are in praises opening out
Monday, January 28, 2008
a haiku : "One Day without Poem"
ONE DAY WITHOUT POEM :
One day without poem
Quiet day of rest.
Saturday, January 26, 2008
a tanka : "Solitary's Paradox"
a tanka : "Rain and Knell"
Suddenly awak'd
Thursday, January 24, 2008
a haiku : "Roses Rain"
my french haiku :
PLUIE DE ROSES :
Une pluie de roses
ROSES RAIN :