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Wednesday, February 12, 2020

Dans cette nuit profondément sombre - poème de Clementia



Dans cette nuit profondément sombre


Dans cette nuit profondément sombre
Je crie ma souffrance
Je suis trop seule
Pourquoi m’as-tu laissée ainsi
J’ai besoin d’un réconfort
Mais maintenant mon coeur est froid
Je me souviens des jours
Où nous volions tendrement
Au-dessus des arcs-en-ciel
Et maintenant je me demande pourquoi
Ce doux temps fut éphémère
C’était un amour tellement profond
Mais maintenant je reste seule
Dans des nuits d’insomnie
Les arcs-en-ciel se sont volatilisés
Et la terre est trop grise


©Clementia






In This Deep Darkest Night



In this deep darkest night
I shout my suffering
I am too lonely
Why did you leave me so
I need a reconfort
But still my heart is cold
I remember the days
We were in tenderness
Flying over rainbows
And now I’m asking why
This sweet time was fleeting
It was such a deep love
But still alone I stay
In nights of insomnia
Rainbows are now vanish’d
And the ground is too grey


©Clementia


in sweet remembrance of my dearest american artist ...
He was born a "Bastille Day" and passed away two days before Valentine's Day

Saturday, June 08, 2019

Pentecôte, poème de Clementia


Pentecôte

Par Duccio di Buoninsegna — The Yorck Project (2002) 10.000 Meisterwerke der Malerei (DVD-ROM), distributed by DIRECTMEDIA Publishing GmbH. ISBN : 3936122202., Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=150317
illustration : Pentecôte, par Duccio di Buoninsegna 

 

En ce jour de Pentecôte,
Des langues de feu venues du ciel
De la douceur infinie du miel
Pénètrent tout au fond de nos âmes.

Dieu nous a voulus debout :
Il ne nous veut pas tremblants,
Mais libres et agissants.
Nos mots sont si petits
Et nos langages confus,
Nous avons tant besoin de Lui.

Esprit, Toi qui nous donnas la vie,
Répands Ton souffle sur nous.
Que Ta flamme nous ranime.
Que Ton feu puissant détruise
Les murs d’incompréhension
Que les hommes ont dressés
Parmi eux et loin des cieux.
Donne à tout homme sur Terre
De parler à tous ses frères
Par la langue universelle
Qu’ils avaient presque oubliée,
Cachée au fond de leurs cœurs.
Répands Ton souffle puissant,
Pour que tous enfin comprennent
Le langage de l’amour.

Ô Dieu,
Nos mots sont trop petits
Pour Te louer de tout notre coeur
Et nous avons tant besoin de Toi…


27/05/2007 – 08/06/2019

Saturday, October 20, 2018

Thursday, April 12, 2018

Orage du petit matin, Haiku de Clementia


Orage du petit matin




Pluie, foudre et tonnerre
Nous ont réveillés ;
Pluies d’avril, été fertile.


13/04/2018

Sunday, November 14, 2010

"Je vous pourris la vie" - poème de Clementia


Je vous pourris la vie… 


Aujourd’hui l’un d’entre vous m’a dit
Que je vous pourrissais la vie
Et voila que tout s’écroule
Je suis de plus en plus seule

J’avais déjà appris que ma mère
N’avait jamais été vraiment fière
De moi qui ne lui apportais
Que des soucis et du chagrin

Je sais bien que j’ai pourri la vie
A l’un puis l’autre de mes maris
Du premier que j’ai rejeté
Puis du second qui prit ma main

Il paraît que je pourris aussi
La vie de mes enfants, m’a-t-on dit
Sévère, suis-je trop rigide,
Mon amour est-il trop solide

Et bientôt pour mes petits-enfants
Lorsqu’ils seront devenus plus grands
Mon caractère et mes manies
Seront sujets de moqueries

Et quelle est ma place dans les vies
De vous trois que je crois mes amis
Ne serais-je donc qu’un boulet
Peut-être une source d’ennuis

Et que penser du reste des gens
Avec qui aussi je parle souvent
Je les embête, les ennuie
Alors je leur pourris la vie

Je ne suis donc qu’un boulet qu’on traîne
Et toutes ces relations sont vaines
Alors pourquoi suis-je encor là
A souffrir dans mon cœur si las


© Clementia - 4 octobre 2006

Monday, November 08, 2010

Saturday, November 06, 2010

ça y est ! mon premier livre est paru !



Youpi ça y est ! Mon livre "Une histoire d'amour de Clementia" est paru !


Disponible sur Internet http://auxilivre.fr/


et ce week-end au

5ème Salon du Livre des Auteurs Régionaux à Sélestat

(les 6 & 7 Novembre 2010 - Salle Sainte-Barbe, 4 rue de la Poste, 9700 Sélestat)


Pour ma part, j'y serai l'après-midi du dimanche 7 novembre, et j'espère avoir le plaisir de vous y rencontrer...

Sunday, October 31, 2010

"Jour des morts" - poème de Clementia


JOUR DES MORTS


Laissez fleurs et couronnes

Vos regrets et vos pleurs

Vos plaques souvenirs

Tout votre tralala

Je n’en ai pas besoin

Là où je suis allé

Car je suis dans la paix


J’ai délaissé le monde

Espace de douleurs

Avec tous ses désirs

Qu’on m’ait aimé ou pas

N’est plus bien important

Maintenant c’est passé

Et je suis dans la paix.


© Clementia

2 novembre 2005


Wednesday, April 14, 2010

In This Deep Darkest Night


In This Deep Darkest Night


In this deep darkest night

I shout my suffering

I am too lonely

Why did you leave me so

I need a reconfort

But still my heart is cold

I remember the days

We were in tenderness

Flying over rainbows

And now I’m asking why

This sweet time was fleeting

It was such a deep love

But still alone I stay

In nights of insomnia

Rainbows are now vanish’d

And the ground is too grey

©Clementia

04/14/2008 – 04/15/2010

Monday, October 13, 2008

If I had a Pair of Wings



If I had a Pair of Wings


If I had a pair of wings
I could go flying to you
And my sweet tenderest sigh
Would be caressing you
So I could come to tear up
The thick and dark cruel veil
Which still is separing us
Insurmountable border
Holding me too far from you



©Clementia
3/27/2008 – 9/17/2008







Si j’avais des ailes


Si j’avais une paire d’ailes
Je pourrais m’envoler vers toi
Et de mes plus tendres soupirs
Enfin je te caresserais
Je parviendrais à déchirer
Le sombre épais voile cruel
Qui présentement nous sépare
Cette barrière infranchissable
Qui me garde trop loin de toi

©Clementia
17 septembre 2008

Wednesday, April 16, 2008

Rainbows remembering




Rainbows Remembering

In this deep darkest night
I shout my suffering
I am too lonely
Why did you let me so ?
I seek a reconfort
But still my heart has cold
I remember the days
We were in tenderness
Flying over rainbows
And I am asking why
This sweet time was fugace
It was such a great love
But still alone I stay
In night of insomnia
As wonderful rainbows
Gone evaporated
Is now the ground too grey

Clementia
04/16/2008

Friday, March 28, 2008

While The Silence from a To Fragile Connexion's Broken






While The Silence
From a To Fragile
Connexion's Broken



Do you feel my lips on yours
And my tender caresses
Wraping you up
And do you feel my presence
Beside you
During all your day
And also my tenderness
Blessing your dreams
While you are sleeping

If I had a pair of wings
I could fly to you
And my whispers of love
Would caress you
I could come to tear up
The thick cruel veil
Which still separes us
And holds me so far from you



03/20/2008 - 03/28/2008

Wednesday, March 12, 2008

Amazing Accident (#2 ex-aequo to the Poets of Zarahemla contest in Second Life)

This morning I'm so happy : My poetry was awarded as #2 ex-aequo to a poetry contest in Second Life.
The theme for the contest of the Poets of Zarahemla POZ Group was in february 'poems about Second Life'.
I'm glad to present you here my rewarded poem :











'Amazing Accident'
(tankas suite about Second Life)


Once upon a time,
In the Space Inspired Park,
Impalpable instant
Between earth and starry sky :
An « amazing accident ».

Standing lonely
You were waiting a girl :
You had rendez-vous,
But she never came to you,
So you were alone.

Funny Destiny :
A SL’s practical joke
Drove me just near you.
My previous region was full
And I was sent where you were.

Two wand’ring poets…
In this circumstanc’s we met.
« Bad technology,
But amazing accident »,
Dancing, began our Romance...

So magical night,
Unforgettable instant,
Sharing about us
We were both discovering,
Like in mirror, our soul mate.

© Clementia
02/29/2008
and now, the french (long) version from this poem :
Notre “Amazing Accident “
(suite de tankas sur le thème de Second Life)

« Once upon a time »,
Dans le Space Inspired Park,
Impalpable instant
Entre terre et ciel d’étoiles :
« An amazing accident »

Tout seul sur la piste,
Tu attendais une amie
Qui ne vint jamais.
Quel bizarre rendez-vous,
Qui te laissait solitaire.

Amusant Destin :
Second Life aux goûts farceurs
Me guida vers toi.
Ma « région » était trop pleine
Et j’atterris près de toi.

Deux poètes errants
Se rencontrèrent ainsi.
« Bad technology,
But amazing accident »,
Une danse et la Romance...

Cette nuit magique,
Quels instants inoubliables :
Faisant connaissance,
Chacun découvrait en l’autre
Son miroir, son âme sœur.

Je me débrouillais
Dans mon piètre anglais scolaire.
Toi, de ton côté,
Tu n’avais jamais appris
Que quelques mots de français.

Pour trouver l’amour,
Il n’est pas besoin de mots
Lorsque les cœurs parlent.
Pourtant je t’ai demandé
De devenir mon « teacher ».

C’est avec ton aide
Que j’appris ton doux langage,
Noyée dans tes yeux.
Et c’est blottie dans tes bras
Que je me donnai à toi.

Le monde est petit,
Il a pour seules frontières
Nos fuseaux horaires.
Ton « Bonjour », mon « Bonne nuit »
S’échangent dans un baiser.

La technologie,
Crashs ou soucis d’Internet,
Ne pourront jamais
Te déconnecter de moi
Car tu habites mon cœur.
29 février 2008

Sunday, February 17, 2008

"The Child is sick"


at first, the french version :


L’enfant est malade…


La maman est inquiète
En haut dans sa chambrette
Son enfant est malade depuis plusieurs jours

La fièvre le taraude et trempe ses draps affolés
L’ombre guette

Il tousse
Cherche sa respiration
Ses yeux pleurent
Il ronfle avec son nez bouché

Les cauchemars se bousculent dans ses délires fiévreux
Les murs et les rideaux se parent de monstres hideux
La couverture devient des camions des autos
Qui menacent de l’écraser

Un arbre malsain grandit dans ses voies respiratoires
Etendant en lianes son caressement constricteur

Maintenant
Une chape de sables mouvants
Veut engloutir l’enfant
Sous les ricanements
De djinns s’esclaffant

L’enfant gémit
L’enfant pleure
L’enfant a peur
La mère prie et supplie

Dans son délire voilà qu’il chante
Il parle d’un céleste ailleurs
Où il attendra de te retrouver

La maman étreint tendrement l’enfant
Elle pleure
Elle a peur
Elle sent rôder l’ombre avide
De la Faucheuse qui guette

Une forme rassurante
D’un rouge orangé
Etoilée de paillettes
Se pose auprès du petit lit
Et veille l’enfant
Le réconfortant
Le rassurant
Et chassant tous les cauchemars

Des mains chaudes et douces
Sur ses bronches et sur son front
Déposent le réconfort
Dans la lumineuse caresse d’un halo bleu indigo

La fièvre capitule
Et s’envole
Le souffle du petit redevient apaisé
Le sommeil apporte un soulagement réparateur

La lugubre ombre fatale
Est partie dépitée
Guetter funestement
D’autres âmes pour sa sinistre moisson

Bientôt l’enfant se lèvera guéri
Il pourra retourner à ses jeux
Et à l’école retrouver ses amis

La maman rassurée
D’un baiser l’a bordé
Et leurs cœurs joyeux s’épanouissent en louanges.



Clementia
16 janvier 2006



and now, (imperfect) translated in my french-broken English :



The Child is sick...


The mom is anxious
On the first floor in its small bedroom
Her child is sick for several days

Fever taps it and soaks its panicked bed's sheets
Shadows watches for

It is coughing
It is seeking its breathing
Its eyes are crying
It whirrs with its filled nose

Nightmares are hustled in its feverish delirious
Walls and curtains decorates them with hideous monsters
The cover becomes trucks and cars
Which threaten to crush it

An unhealthy tree grows in its respiratory tracts
Extending in creepers its constrictor carressment

Now
A moving sands cover
Wants to absorb the child
Under the sniggers
Of bursting out laughing djinns

The child groans
The child cries
The child is affraid
The mother prays and implores

In its delirium here that it sings
It speaks about celestial elsewhere
Where it will await to see you again

The mom embrace tenderly the child
She cries
She is affraid
She feels the avid shade rove
Of the watching Reaper

A reassuring form
Of an orange red
Brilliant of spangles
Is posing it near the small bed
And takes care the child
Comforting it
Reassuring it
And driving out all the nightmares
Warm and soft hands
On its bronchis and its foreheard
Déposits the comfort
In the luminous caress of an indigo blue halo

The fever capitulates
And flies away
The breath of the child becames alleviated again
The sleep brings a repairing relief

Lugubrious fatal shade
Is disappointed left
To fatally watch
Other hearts for its sinister harvest

Soon will the child rise cured
It will be able to return to its plays
And at school see again its friends

The reassured mom
With a kiss tucked it in
And their merry hearts are in praises opening out


Clementia
January 30, 2008

Monday, January 28, 2008

a haiku : "One Day without Poem"




JOUR SANS POEME :


Un jour sans poème
Dimanche soleil et sieste
Un jour de repos

© Clementia
7 octobre 2007




ONE DAY WITHOUT POEM :


One day without poem
Sunny sunday and siesta
Quiet day of rest.



© Clementia
10/07/2007

Saturday, January 26, 2008

a tanka : "Solitary's Paradox"





SOLITARY'S PARADOX :


And in spite of all
So much people loving me
I need only you
In my dreams I'm in your arm
When I wake up I'm alone

autumn 2007

a tanka : "Rain and Knell"





RAIN AND KNELL :


Suddenly awak'd
Hearing the tears from the rain
Anguish in my heart
The bell from the knell resounds
And I am alone again


© Clementia
autumn 2007

Thursday, January 24, 2008

a haiku : "Roses Rain"





my french haiku :


PLUIE DE ROSES :


Une pluie de roses
Et la douceur de tes bras
Quel réveil charmant

5 octobre 2007


and now, my English translation :


ROSES RAIN :


A rain of roses
And the softness of your arms :
Charming waking up.
10/05/2007

Monday, January 21, 2008

a haiku : "Dove"





I wrote at first this french haiku :




COLOMBE


La blanche colombe
Egarée dans le désert
Roucoule, apeurée.



© Clementia
3 octobre 2007



and now, it is the same haiku, than I wrote in English :



DOVE



The pure white dove,
Lost alone in the desert,
Warbles, sad afraid.


© Clementia
10/03/2007

Wednesday, January 16, 2008

a tanka : "Waterfall Remembering"





in remembrance of a nice spot, lost in Second Life :




WATERFALL'S REMEMBERING :


At the waterfall
We both staying together
Lightening crashes
And the nice warm sound
Of your adorable voice.



autumn 2007