Et
même si…
Et même si ton corps était difforme,
Si t’avait ravagé le poids des ans,
Tu serais pour moi le plus beau des hommes
Et je te voudrais toujours pour amant.
Si dans la confusion de ton esprit
Tu oubliais mon existence même,
Je n’oublierais pas que tu es ma vie,
Je te montrerais toujours que je t’aime.
Et même si, par le plus grand des drames,
Ton cœur n’était que mensonge et noirceur,
C’est à jamais la beauté de ton âme
Que j’apercevrais du fond de mon cœur.
Je sais, rien jamais ne m’empêchera
De t’aimer toujours, d’avoir foi en toi.
16 – 17 octobre
2007
Note : ce poème est paru dans mon recueil "Instants d'Eternité",
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