Monday, April 17, 2006

Jeudi 17 avril - Mon journal




 A la fin de ce week-end prolongé, je veux mettre un petit mot d'humeur sur mon blog.

Alors que beaucoup de gens fêtaient Pâques et en profitaient pour se rendre visite en famille, j'ai été marquée par plusieurs faits d'actualité... et l'actualité comme toujours est bien trop triste.

C'est d'abord cet adolescent de 17 ans tué à Bruxelles mercredi passé pour lui prendre son lecteur MPS (voir un de mes précédents messages sur ce blog).
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Ensuite, ces deux enfants fauchés sur le trottoir à Belfort par un conducteur ivre. La fille de 12 ans encore dans un état très grave, son petit frère de 5 ans blessé.
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Puis, en Bretagne, ce jeune garçon de 13 ans tué, par un parpaing que trois jeunes imbécile imbibés d'alcool ont envoyé du haut d'un pont sur l'autoroute, le projectile ayant traversé le pare-brise de la voiture ou l'enfant était passager, le blessant mortellement au niveau de l'épaule et de la carotide.
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Et les attentats fanatiques en plusieurs endroits du monde...
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Cette actualité ne peut pas nous laisser indifférents.
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Mon coeur de femme, mes tripes de mère, frémissent d'horreur et de tristesse pour chaque événement triste de ce genre, pour toutes ces douleurs engendrées par la bêtise et la méchanceté humaines.
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Que dire de plus...



... peut-être juste vous redire un poème que j'ai déjà publié sur ce blog début mars :



Face aux événements tristes qui bouleversent la planète au fil des mois (attentats, accidents, guerres, catastrophes météorologiques, maladies, et tout le lot de malheurs qui arrachent des êtres à la vie), cette leçon importante s'impose de plus en plus à moi comme une évidence, et je veux la mettre en pratique : il faut montrer à ceux qu'on aime qu'ils nous sont précieux, ICI ET MAINTENANT... après, on n'a que des regrets de ne pas leur avoir dit et montré notre amour, notre amitié, notre affection.

Il faut aussi que nous apprenions à connaître ceux que nous ne connaissons pas encore, que nous nous en fassions des amis chaque fois que c'est possible, pour un bout de chemin ensemble.

La vie est si courte, trop courte... il y a déjà trop de places vides autour de nous, autour de moi, trop de mots d'amour ou d'amitié qu'on n'a pas dits à temps...


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